Rempli d’une
jeunesse orgueilleuse, tu veux feindre la vie et la remplir de mensonges.
En ignorant la
réification de ton désir et de ton rejet, tu envahis mes songes.
Es-tu si fragile
ou si méchant ? Que ton souhait de m’évincer est plus fort,
Que tu transpires
abondamment le désir de me mépriser encore,
Bourreau !
Tu maintiens l’espoir et la continuité d’un amour inexistant.
L’économie d’un
verbe ne saurait justifier ton égoïsme cinglant.
Te crois-tu innocent ?
Te crois-tu innocent ?
Entends-tu dans
ces quelques vers, la possibilité d’éradiquer le passé ?
J’ai besoin d’un
pansement, pour l’aplanir et aller de l’avant.
Peut-être
l’ignores-tu ? Je mérite du respect,
Je ne suis point
un objet mais une reine de beauté.
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