Aujourd'hui, il est possible d'augmenter le plaisir sexuel de la femme par un procédé chirurgical appelé le G-shot.
Le G-shot est une injection de collagène qui rehausse de manière temporaire le point G.
Alors pour on contre?
D'abord rappelons quelques faits.
- Ca commence avec Freud qui soutenait que l'orgasme clitoridien était infantile, et qu'il devenait mature quand il était vaginale. (une manière de décomplexer les hommes qui ne parvenaient pas à donner d'orgasmes à leur concubines, et de dire aux femmes qui n'en avaient pas, qu'elles avaient un plaisir infantile si leur plaisir était clitoridien).
- Ensuite est venue Sheer Hite qui publie le rapport Hite en 1976. Après avoir étudié plus de milles cas de femmes dont elles a reçu le témoignage ; elle en a déduit que les femmes pouvaient se satisfaire seule, par la masturbation et qu'elles restaient insatisfaites lors des rapports avec un homme. (Ici les hommes en prennent pour leur grade, ils sont incapables de satisfaire les femmes lors du coït).
Alors d'un côté on a Freud qui tentent alors de rassurer les hommes sur leur prouesse sexuelle, si votre femme ne jouit pas, ce n'est pas de votre faute, elle n'a pas encore atteinte, une maturité dans son orgasme, elle est encore au stade puéril, touche-pipi. Et d'un autre on a l’émasculation des hommes, vous ne pouvez pas satisfaire une femme, d'ailleurs elles le font très bien toute seule, l'autoérotisme à son paroxysme.
Et puis vient se mêler le "point G", alors là on a le complexe clitoro-urétro-vaginal.
Les hommes reprennent du courage, car là il existe une troisième option qui donne encore plus de chance aux hommes de nous satisfaire.
Selon un spécialiste italien, le professeur Jannini, le point G serait la prolongation du clitoris à l'intérieur du vagin. Le clitoris externe ne serait alors que la partie visible de l'iceberg ?
Suite à cette possibilité du point G, certains chirurgiens en profitent et surfent sur la vague.
Et là, on dépasse les sex toys et autre machines à donner du plaisir. En un petit coup de seringue de collagène on gonfle le point G, même si son existence n'a pas été prouvé scientifiquement, le chirurgien lui, n'a aucun mal à le trouver. (peut être qu'il suffirait de coucher avec ce chirurgien et ainsi éviter une quelconque aiguille de s'intégrer dans cette zone si sensible, puisqu'il sait si bien où il est).
Cette intervention prend des tournures impressionnantes chez nos concitoyennes américaines et anglaises, toujours avant-gardistes, et pas toujours dans le bon sens. Par exemple, je n'ai aucunement envie de me faire javelliser le trou de balle (et pourtant très tendance aux USA).
Alors après les soirées tupperware, il y eu les soirées botox, où une personne se déplace à domicile et injecte chaque petite ridule de vous et vos copines ( je crois qu'il font un prix de gros). Et bien maintenant, on a les soirée G-shot, ne me demandez pas comment ça se passe, je n'en ai aucune idée. L'idée de me retrouver cul-nu, les jambes écartées, à espérer que le docteur trouve mon point G vite, et y injecte du collagène à l'aide d'une seringue de 8 cm, devant une assemblée de copines ébahies, très peu pour moi. J'imagine qu'en plus on doit échanger nos expériences respectives après avoir partagé le même fauteuil, le même docteur...
J'imagine les conversations, mon mec l'a trouvé direct - vu que maintenant plus besoin d'une loupe pour le trouver, il est gonflé par le collagène - et là il m'a pris dans cette position et alors que d'habitude je n'ai aucun plaisir, là c'était comment dire, le pied !!!!!!
En voilà une nouvelle tendance, y succomberez-vous ?
mardi 29 novembre 2011
Pourquoi j'ai adoré Polisse
Quand je suis allée voir Polisse, je ne voulais m'attendre à rien. D'autre films m'ont appris à ne point trop s'enthousiasmer pour éviter la déception.
Et bien là, ce fut tout le contraire.
C'est un film divertissant, touchant, on passe du rire aux larmes d'une seconde à l'autre. Ce sont des tranches de vie qui n'ont pas la prétention de régler la misère dans le monde, si ce n'est de poser un regard sur ce monde, où tout n'est pas joie et innocence (bon ça, on s'en doutait un peu).
Un film qui ouvre les yeux sur la dimension humaine dont peut faire preuve la police, c'est sûr, la brigade des mineurs n'a pas la plus mauvaise presse, mais disons que Maïwenn montre un côté humain qui nous échappe en grande partie.
C'est vrai qu'il faut être courageux pour affronter la misère quotidienne, avoir de l'empathie, maintenir de la distance malgré la douleur.
Tous les situations possibles et imaginables sont traitées, sans détours, sans s'attarder. Les acteurs sont incroyables, je m'incline plus particulièrement devant Marina foïs et Karin Viard, dont la scène finale est prenante, elle vous donne des frissons.
Je trouve que Maïwenn a su traiter un sujet délicat avec beaucoup de subtilité. Il se dégage d'elle une tristesse constante, au-delà de sa prestation d'acteur. C'est peut-être cette même tristesse qui lui a permise de montrer tous ces personnages avec précision, d'un oeil aguerri qui lui confère une vision aiguisée sur les comportements humains.
Pour moi, Polisse est un film qui ne laisse certainement pas indifférent, et qui m'a apportée un petit plus dans ma vision de la vie. J'envie son écriture perspicace, j'envie son ingéniosité dans la direction des acteurs. On a envie d'être dans chaque moment du film, d'y participer, d'être avec eux, dans la joie et dans la douleur, pour le meilleur et pour le pire.
Et bien là, ce fut tout le contraire.
C'est un film divertissant, touchant, on passe du rire aux larmes d'une seconde à l'autre. Ce sont des tranches de vie qui n'ont pas la prétention de régler la misère dans le monde, si ce n'est de poser un regard sur ce monde, où tout n'est pas joie et innocence (bon ça, on s'en doutait un peu).
Un film qui ouvre les yeux sur la dimension humaine dont peut faire preuve la police, c'est sûr, la brigade des mineurs n'a pas la plus mauvaise presse, mais disons que Maïwenn montre un côté humain qui nous échappe en grande partie.
C'est vrai qu'il faut être courageux pour affronter la misère quotidienne, avoir de l'empathie, maintenir de la distance malgré la douleur.
Tous les situations possibles et imaginables sont traitées, sans détours, sans s'attarder. Les acteurs sont incroyables, je m'incline plus particulièrement devant Marina foïs et Karin Viard, dont la scène finale est prenante, elle vous donne des frissons.
Je trouve que Maïwenn a su traiter un sujet délicat avec beaucoup de subtilité. Il se dégage d'elle une tristesse constante, au-delà de sa prestation d'acteur. C'est peut-être cette même tristesse qui lui a permise de montrer tous ces personnages avec précision, d'un oeil aguerri qui lui confère une vision aiguisée sur les comportements humains.
Pour moi, Polisse est un film qui ne laisse certainement pas indifférent, et qui m'a apportée un petit plus dans ma vision de la vie. J'envie son écriture perspicace, j'envie son ingéniosité dans la direction des acteurs. On a envie d'être dans chaque moment du film, d'y participer, d'être avec eux, dans la joie et dans la douleur, pour le meilleur et pour le pire.
mardi 15 novembre 2011
C'est Nowel, le nowel de tous les Poutines
Dimanche 13 novembre 2011,
Ça y est, c'est noël. En tous cas, ça l'est sur les grands boulevards, les grands magasins brillent de mille feux. Les vitrines sont en place, au "Printemps", "Chanel" est à l'honneur, des petites poupées, déguisées en hôtesses de l'air et stewards tournoient autour d'un avion siglé "Chanel", deux petites poupées mâle et femelle se roulent une pelle sur le dessus de l'avion.
Plus loin, dans une autre vitrine, une dizaine de Karl Lagerfeld miniatures, tous azimuts, se multiplient dans des tâches diverses, photographe, chef d'orchestre, cireur de pompes, en haut de la tour Eiffel, tels de petits elfes prêts à affronter le travail de Titan qui attendent ces chers bestiaux aux heures de noël. C'est un peu effrayant.
Alors moi, j'ai une petite proposition à faire. Pour l'année prochaine en toute cohérence, je ferais la même vitrine mais avec Vladimir Poutine.
Poutine à la chasse.
Poutine fait du cheval torse-nu
Poutine fait un câlin à un chien
Poutine fait de la formule 1
Poutine chante
Poutine joue du piano
Poutine fait du judo
Poutine sauve un tigre
Poutine fait des injections de Botox....
Il vient même d'avoir un prix Nobel de la paix chinois.
Ha ! (soupir) Quel homme !
Ça y est, c'est noël. En tous cas, ça l'est sur les grands boulevards, les grands magasins brillent de mille feux. Les vitrines sont en place, au "Printemps", "Chanel" est à l'honneur, des petites poupées, déguisées en hôtesses de l'air et stewards tournoient autour d'un avion siglé "Chanel", deux petites poupées mâle et femelle se roulent une pelle sur le dessus de l'avion.
Plus loin, dans une autre vitrine, une dizaine de Karl Lagerfeld miniatures, tous azimuts, se multiplient dans des tâches diverses, photographe, chef d'orchestre, cireur de pompes, en haut de la tour Eiffel, tels de petits elfes prêts à affronter le travail de Titan qui attendent ces chers bestiaux aux heures de noël. C'est un peu effrayant.
Alors moi, j'ai une petite proposition à faire. Pour l'année prochaine en toute cohérence, je ferais la même vitrine mais avec Vladimir Poutine.
Poutine à la chasse.
Poutine fait du cheval torse-nu
Poutine fait un câlin à un chien
Poutine fait de la formule 1
Poutine chante
Poutine joue du piano
Poutine fait du judo
Poutine sauve un tigre
Poutine fait des injections de Botox....
Il vient même d'avoir un prix Nobel de la paix chinois.
Ha ! (soupir) Quel homme !
jeudi 10 novembre 2011
La pub cible les blondes peroxydées
Une pub dans le métro - que je ne souhaite pas nommer pour ne pas lui faire une quelconque presse tellement l'image qu'elle véhicule m'agace - représente quatre blondes peroxydées en train de se "chercher les poux".
On a l'impression d'être face à la régression passive de nos chers homo sapiens sapiens, en de vulgaires chimpanzés. Ne vous méprenez pas, je trouve nos cousins babouins et autres singes, fort sympathiques.
On nous propose avec cette pub un site internet pour vendre et acheter de la mode de luxe.
Quand je regarde cette image : deux émotions me traversent, d'abord je reste dubitative et rapidement l'irritation succède au quoi. Quel message veut-on me faire passer ? Qu'est-ce qu'on essaye de me vendre ?
Quand les femmes se retrouvent pour faire du shopping entre elles :
a) Elles frottent les cheveux de leurs copines ?
b) Font une bataille de coussin ?
c) Elles se décoiffent et elles en rigolent ?
Ha ! que les femmes sont simples, un rien les amusent, des chaussures, une décoloration, une copine ou trois, allez soyons fous, elles aussi décolorées, et qu'est-ce qu'on s'amuse !
Essaye-t'on de titiller l'homme avec quelques blondes qui font une bataille de coussin (fantasme probablement universel) ? Alors s'il en est la cible, dois-je demander à l'homme d'acquérir ma prochaine paire de "Louboutin" ? Ou peut-être aussi, cherche-t'on à laisser s'exprimer ma part de masculinité qui serait alors immédiatement sous le charme de ces quatre blondes ? Ou peut-être on veut faire travailler mon imagination et installer de nouveaux concepts de sorties entre filles : "ce serait tellement chouette si avec mes copines on se faisait une petite séance de shopping et "cherchage" de poux ou crêpage de chignon".
Les créa pensaient peut-être que je m'identifierais instantanément à ces jeunes femmes rigolardes. Déjà j'appelle à la discrimination, je suis brune et donc non-reprensentée sur l'affiche, faudrait-il faire une loi pour la parité blonde-brune ? Et ouais mec ! Lio l'a dit les brunes comptent pas pour des prunes. Mais en vrai, cette petite guéguerre blonde-brune, me passe bien au-dessus. Ce que je décris c'est l'image habituelle de la femme qu'on essaye de vendre. Une blonde sans esprit qui s'amuse d'un rien.
Argh ! C'est dure à avaler.
Petite question aux communiquants publicitaires : A quelle occasion vous-a-t'il été donné de voir quatre copines qui partageaient un moment tel que celui-là ? ok, on peut me répondre, c'est de la pub, on vend du rêve.
Alors primo, quand je suis avec mes copines, on ne se décoiffe pas, d'ailleurs on se touche rarement la crinière ; honnêtement, la copine qui fait ça, elle passe direct au grill, non mais elle va pas me décoiffer celle-là ! On en arriverait direct au pugilat, donc déjà c'est pas viable comme concept, il y aurait beaucoup trop de blessés.
Aucune fille indépendamment de sa couleur de cheveux n'a envie d'être décoiffée par ses copines.
Car comme toutes les femmes, il n'y a qu'un seul endroit où j'accepte d'être décoiffée, et sincèrement, je pense que c'est très peu probable que ça se passe avec une de mes copines.
Déjà on passe pour le rêve.
Secondo, si mes copines s'avéraient avoir des poux, je les expédierais sans tact - retour chez elles. Jamais je n'aiderais une copine, aussi chère qu'elle soit, à se dépouiller la tête. A moins qu'une dimension beaucoup plus subtile ne se dégage de cette image : dépouillez vos copines, elles ont trop de vêtements, trop d'argent...
A savoir aussi, que plus en plus de femmes font du shopping seules, plus de mobilité, pas obligée de s'extasier sur les choix vestimentaires douteux d'une copine (ben oui chacun ses goûts), ou d'attendre qu'elle ait essayé ses 20 pantalons, 15 robes et 30 tops. Moi c'est un moment que je préfère solo, pas de boulet, rapidité et efficacité.
Je me branche sur le site, et alors-là que vois-je, des blondes, partout, c'est une invasion. (sans commentaire)
Alors si le rêve c'est d'être une blondasse (désolée mesdames les jolies blondes aux cheveux dorés), entourée de trois de mes clones (elles se ressemblent comme quatre gouttes d'eau: ha encore un fantasme masculin : des quadruplés blondes à forte poitrine), et que nos passe-temps c'est le crêpage de chignon en se marrant, je sors mon joker.
On a l'impression d'être face à la régression passive de nos chers homo sapiens sapiens, en de vulgaires chimpanzés. Ne vous méprenez pas, je trouve nos cousins babouins et autres singes, fort sympathiques.
On nous propose avec cette pub un site internet pour vendre et acheter de la mode de luxe.
Quand je regarde cette image : deux émotions me traversent, d'abord je reste dubitative et rapidement l'irritation succède au quoi. Quel message veut-on me faire passer ? Qu'est-ce qu'on essaye de me vendre ?
Quand les femmes se retrouvent pour faire du shopping entre elles :
a) Elles frottent les cheveux de leurs copines ?
b) Font une bataille de coussin ?
c) Elles se décoiffent et elles en rigolent ?
Ha ! que les femmes sont simples, un rien les amusent, des chaussures, une décoloration, une copine ou trois, allez soyons fous, elles aussi décolorées, et qu'est-ce qu'on s'amuse !
Essaye-t'on de titiller l'homme avec quelques blondes qui font une bataille de coussin (fantasme probablement universel) ? Alors s'il en est la cible, dois-je demander à l'homme d'acquérir ma prochaine paire de "Louboutin" ? Ou peut-être aussi, cherche-t'on à laisser s'exprimer ma part de masculinité qui serait alors immédiatement sous le charme de ces quatre blondes ? Ou peut-être on veut faire travailler mon imagination et installer de nouveaux concepts de sorties entre filles : "ce serait tellement chouette si avec mes copines on se faisait une petite séance de shopping et "cherchage" de poux ou crêpage de chignon".
Les créa pensaient peut-être que je m'identifierais instantanément à ces jeunes femmes rigolardes. Déjà j'appelle à la discrimination, je suis brune et donc non-reprensentée sur l'affiche, faudrait-il faire une loi pour la parité blonde-brune ? Et ouais mec ! Lio l'a dit les brunes comptent pas pour des prunes. Mais en vrai, cette petite guéguerre blonde-brune, me passe bien au-dessus. Ce que je décris c'est l'image habituelle de la femme qu'on essaye de vendre. Une blonde sans esprit qui s'amuse d'un rien.
Argh ! C'est dure à avaler.
Petite question aux communiquants publicitaires : A quelle occasion vous-a-t'il été donné de voir quatre copines qui partageaient un moment tel que celui-là ? ok, on peut me répondre, c'est de la pub, on vend du rêve.
Alors primo, quand je suis avec mes copines, on ne se décoiffe pas, d'ailleurs on se touche rarement la crinière ; honnêtement, la copine qui fait ça, elle passe direct au grill, non mais elle va pas me décoiffer celle-là ! On en arriverait direct au pugilat, donc déjà c'est pas viable comme concept, il y aurait beaucoup trop de blessés.
Aucune fille indépendamment de sa couleur de cheveux n'a envie d'être décoiffée par ses copines.
Car comme toutes les femmes, il n'y a qu'un seul endroit où j'accepte d'être décoiffée, et sincèrement, je pense que c'est très peu probable que ça se passe avec une de mes copines.
Déjà on passe pour le rêve.
Secondo, si mes copines s'avéraient avoir des poux, je les expédierais sans tact - retour chez elles. Jamais je n'aiderais une copine, aussi chère qu'elle soit, à se dépouiller la tête. A moins qu'une dimension beaucoup plus subtile ne se dégage de cette image : dépouillez vos copines, elles ont trop de vêtements, trop d'argent...
A savoir aussi, que plus en plus de femmes font du shopping seules, plus de mobilité, pas obligée de s'extasier sur les choix vestimentaires douteux d'une copine (ben oui chacun ses goûts), ou d'attendre qu'elle ait essayé ses 20 pantalons, 15 robes et 30 tops. Moi c'est un moment que je préfère solo, pas de boulet, rapidité et efficacité.
Je me branche sur le site, et alors-là que vois-je, des blondes, partout, c'est une invasion. (sans commentaire)
Alors si le rêve c'est d'être une blondasse (désolée mesdames les jolies blondes aux cheveux dorés), entourée de trois de mes clones (elles se ressemblent comme quatre gouttes d'eau: ha encore un fantasme masculin : des quadruplés blondes à forte poitrine), et que nos passe-temps c'est le crêpage de chignon en se marrant, je sors mon joker.
mardi 8 novembre 2011
Les Intouchables : Attention, placement de produits Galvaudés
Les Intouchables, film sorti en salle le 2 novembre 2011, d' Eric Toledano et
Olivier Nakache ; avec
François Cluzet et Omar Sy.
Après avoir lu les critiques dithyrambiques de la presse
sur ce film, qui disait que chaque fin de séance se terminait par une ovation,
je me suis dit: "ça c'est un film que je ne veux pas rater, une bonne
comédie française, j'ai hâte de voir ça".
La poudre aux yeux, j'avais hâte de bien rire.
Alors oui c'est vrai, le film commence plutôt bien, on rit avec
plaisir à plusieurs reprises dans les premières 45 minutes du film, ha une
bonne comédie, enfin ! on y croit. Mais ça se gâte et il reste une heure.
D'un côté on nous vend un personnage de télévision et d'un autre,
les attendues jérémiades. Ha ça ratisse large !
Ce rouleau compresseur médiatique ne passera pas sur moi ! Je trouve vite fatiguant le battage autour des stars populaires du petit écran.
Les gens s'esclaffent à peine Omar Sy apparaît à l'écran,
"ai-je
loupé une subtilité du film ? J'ai peut-être mal compris". L'influence de
la popularité et le succès du SAV des
émissions qui donne cette dimension comique au personnage n'y sont peut
être pas pour rien. On rit parce qu'on sait qu'il est drôle.
Et en ça je ne critique pas sa prestation, il est assez bon, en tous cas
égal à lui -même, il est bien dans le stéréotype de son rôle.
Il faut être honnête, la prestation des acteurs est bonne ; François Cluzet est
même excellent. Enfin il n'a pas attendu ce film pour être bon acteur.
Sous couvert d'être basé sur des faits réels, le film
utilise toutes les ficelles et recettes des bons sentiments. Une
petite cuillerée de tendresse, une amitié entre un noir (pauvre) et
un blanc (riche) ; une petite pincée d'apitoiement sur la banlieue, une petite
larme pour les gens qui travaillent et qui rentrent chez eux alors qu'il fait
déjà nuit, comme tout le monde.
Le ton pleurnichard devient rapidement énervant.
Et oui comme la majorité des gens, je travaille et moi aussi quand
je rentre le soir, le soleil a déjà pris la poudre d'escampette. J'en ai marre,
comme beaucoup de gens, de l'image victimisante et systématique de la banlieue.
C'est une belle histoire, malheureusement les réalisateurs ou
scénaristes n'ont pas résister aux grosses ficelles galvaudées. L'histoire de
ces deux hommes perd toute sa dimension humaine.
Ca aurait pu être un très bon film.
samedi 5 novembre 2011
De la perversité ignorée
Rempli d’une
jeunesse orgueilleuse, tu veux feindre la vie et la remplir de mensonges.
En ignorant la
réification de ton désir et de ton rejet, tu envahis mes songes.
Es-tu si fragile
ou si méchant ? Que ton souhait de m’évincer est plus fort,
Que tu transpires
abondamment le désir de me mépriser encore,
Bourreau !
Tu maintiens l’espoir et la continuité d’un amour inexistant.
L’économie d’un
verbe ne saurait justifier ton égoïsme cinglant.
Te crois-tu innocent ?
Te crois-tu innocent ?
Entends-tu dans
ces quelques vers, la possibilité d’éradiquer le passé ?
J’ai besoin d’un
pansement, pour l’aplanir et aller de l’avant.
Peut-être
l’ignores-tu ? Je mérite du respect,
Je ne suis point
un objet mais une reine de beauté.
jeudi 3 novembre 2011
Nouveaux regards sur le Sud - L'Agence Française de Développement s'engage, avec Magnum Photos, pour mettre le développement en images.
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mardi 1 novembre 2011
Les zombies envahissent Paris
Dimanche 23 Octobre 2011,
Rue Saint-Martin, un défilé se prépare, des images d'horreur vont défiler devant les yeux des badauds. Les zombies ont attaqué Paris. Le sang gicle, les yeux tombent, littéralement, il est bon pendant ces quelques heures de crier, de geindre en groupe, de faire peur aux passants, de faire des têtes de mort, d'être un ZOMBIE.
Les Z., nous ne saurons plus prononcer leur nom, jouent le jeu pour les nombreux photographes, c'est amusant, il y en a même qui sont venus en famille. Romero n'a qu'à bien se tenir.
A vous d'en juger :
http://heemawati.tumblr.com/post/12198833211/la-zombie-walk-paris-23-octobre-2011
http://heemawati.tumblr.com/post/12199243404/la-zombie-walk-part-2
Rue Saint-Martin, un défilé se prépare, des images d'horreur vont défiler devant les yeux des badauds. Les zombies ont attaqué Paris. Le sang gicle, les yeux tombent, littéralement, il est bon pendant ces quelques heures de crier, de geindre en groupe, de faire peur aux passants, de faire des têtes de mort, d'être un ZOMBIE.
Les Z., nous ne saurons plus prononcer leur nom, jouent le jeu pour les nombreux photographes, c'est amusant, il y en a même qui sont venus en famille. Romero n'a qu'à bien se tenir.
A vous d'en juger :
http://heemawati.tumblr.com/post/12198833211/la-zombie-walk-paris-23-octobre-2011
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